Choisir le meilleur appareil photo hybride Fujifilm en 2024 : votre guide complet
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Fujifilm s’est lancé en janvier 2012 sur le marché des appareils photo hybrides (ou sans miroir). Depuis, la firme japonaise a bien développé son parc de boîtiers pour devenir une des références. Fuji est présent dans deux secteurs : celui des appareils, plutôt compacts, à capteur APS-C (en monture X), et celui des boîtiers plus imposants à grand capteur de type moyen format (en monture G). En revanche, Fujifilm ne propose pas d’appareil photo à capteur plein format.
Durant nos tests, nous mettons à l’épreuve les capacités photo et vidéo des différents appareils. Par exemple, nous mesurons la réactivité de la mise au point automatique, ainsi que la prise en main générale de l’appareil. À partir de nos évaluations, nos algorithmes prennent le relais et vérifient les prix des produits quotidiennement et actualisent la sélection en fonction des offres les plus intéressantes pour créer notre guide d’achat du meilleur appareil photo hybride de Fujifilm.
Cette liste n’est pas forcément exhaustive, et pour retrouver toutes les références des meilleurs hybrides Fujifilm, mais aussi des autres marques, vous pouvez vous tourner vers notre comparatif. Également, nous mettons à votre disposition un guide d’achat du meilleur appareil photo hybride.
Les meilleurs
Fujifilm GFX100 II : quand le summum de la qualité d’image passe à la vitesse supérieure
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- Meilleure qualité d’image du marché.
- Viseur (amovible !) sublime.
- Construction vraiment tout temps.
- Rafale et suivi AF très efficaces.
- Modes vidéo très complets.
- Conserve l’emplacement SD.
Points faibles
- Plus lourd qu’un 24×36.
- AF et suivi toujours inférieurs aux petits capteurs.
- Parc optique haut de gamme limité à Fujifilm.
- Joystick.
Avec le GFX100 II, Fujifilm redéfinit le champ des possibles. Oubliez les appareils photo trop volumineux, trop lourds, trop lents et cantonnés aux studios. Ce moyen format est étonnant à plus d’un titre. Jadis mou de l’autofocus, le standard GFX passe la deuxième avec ce GFX100 II tout aussi capable de suivre une action rapide que de parfaitement garder le point sur un sujet (portrait, pub, etc). Le tout s’accompagne d’une rafale suffisante à produire très rapidement LA bonne image. Si on ajoute un prix inférieur au GFX100 premier du nom, une partition vidéo digne d’une très bonne caméra, une construction vraiment tout temps, une autonomie en net progrès et un viseur magnifique, on obtient un boîtier excellent. Son tarif le place hors de portée du commun des mortels, mais il sera largement justifié auprès des professionnels ou passionnés fortunés.
Fujifilm GFX 100S : l’excellence du moyen format dans un gabarit conventionnel
Prix de lancement 6000 €
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- Bonnes finitions et tropicalisation.
- Ergonomie complète et personnalisable (nouveau joystick).
- Écran orientable et tactile.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Stabilisation du capteur.
- Grande définition du capteur.
- Très bonne qualité d’image.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo et en vidéo.
- Mode vidéo complet.
- Vidéo 4K DCI sans recadrage et enregistrement 4:2:2 10 bits en interne.
Points faibles
- Le gabarit général reste important.
- Gestion des hautes lumières limitée.
- Rolling shutter en 4K / FHD.
- Enregistrement 4K limité à 30 i/s.
- Rafale limitée à 5 i/s.
- Absence de compatibilité XQD/CFexpress.
Une fois encore Fujifilm frappe un grand coup. Le GFX 100S reprend pour lui toutes les avancées du GFX 100 et lui retire une bonne partie de ses inconvénients, dont son encombrement. Reste un appareil au gabarit plus classique, mais qui embarque un très grand capteur de type moyen format stabilisé en plus de tous les avantages du système hybride. Exception faite du stockage qui aurait mérité une compatibilité avec des cartes plus rapides que les SD UHS-II, ou encore de l’absence de la 4K à 60 i/s, le GFX 100S est un appareil très abouti. Il propose une qualité d’image exceptionnelle, une prise en main des plus réussies et un mode vidéo complet. Ceux qui cherchent une très haute définition sans pour autant faire un compromis sur l’autofocus ou l’ergonomie trouveront en lui un allié de poids.
Fujifilm X-H2S : le meilleur boitier APS-C du moment, et peut-être plus encore
Prix de lancement 2749 €
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- Construction et ergonomie.
- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
- Détection et suivi AF du sujet très efficaces en photo ou en vidéo.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Maitrise du *rolling shutter*.
- Viseur et écran tactile sur rotule.
- Recharge par USB et prise de vue pendant l’alimentation.
- Connectique complète et double emplacement pour le stockage.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Quelques entorses à l’ergonomie « Fujifilm ».
- Mémoire tampon maximale parfaitement exploitable uniquement avec une carte mémoire haut de gamme.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Menus vieillots.
Longtemps chasse gardée de Canon et Nikon, puis à Sony, le monde de la photo de sport s’ouvre désormais à Fujifilm. Avec le X-H2S, le fabricant change son fusil d’épaule et propose un boitier à la construction moins singulière et, surtout, doté de performances de haute volée sur quasiment toute la ligne. Mention spéciale à l’autofocus, véritable nerf de la guerre, qui parvient à titiller, sans pour autant égaler, les meilleurs concurrents. Avec le X-H2S, Fujifilm livre ainsi l’un des meilleurs appareils photo APS-C du moment et peut-être même toutes catégories confondues grâce à sa polyvalence bienvenue.
Fujifilm GFX 50S II : le moyen format aux portes de l’accessibilité
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- Bonnes finitions et tropicalisation.
- Ergonomie complète et personnalisable.
- Écran orientable et tactile.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Stabilisation du capteur.
- Grande définition du capteur.
- Très bonne qualité d’image.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo.
Points faibles
- Le gabarit général reste important.
- Gestion des hautes lumières limitée.
- Enregistrement vidéo limité au Full HD.
- Rafale limitée à 3 i/s.
- Absence de compatibilité XQD/CFexpress.
Le Fujifilm GFX 50S II est un appareil digne d’intérêt. Relativement compact pour un moyen format, il propose en sus une très bonne qualité d’image et un capteur stabilisé toujours bienvenu pour les photos à main levée. On regrette cependant un système autofocus un peu daté et un volet vidéo anecdotique. Sinon, il s’agit d’un bon boîtier pour se lancer dans le moyen format.
Les meilleurs rapports qualité/prix
Fujifilm X-T5 : compacité, réactivité, définition ; le bon compromis
Prix de lancement 1999 €
Fonctionnement du tableau de prix
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- Construction et ergonomie.
- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
- Détection et suivi AF du sujet très efficaces en photo et en vidéo.
- Mode haute résolution.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Recharge par USB et prise de vues pendant l’alimentation.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Rolling shutter marqué en vidéo.
- Menus vieillots.
Fujifilm avait déjà un boîtier très défini et réussi avec le X-H2. Avec le X-T5, la firme japonaise réunit ce qui a fait le succès du X-H2 et le design plus traditionnel cher à l’entreprise et à certains photographes. Un viseur plus défini et un suivi AF plus précis auraient permis de le porter au firmament. On ne relève cependant pas de fausse note et le boîtier compact et performant n’a que peu à envier aux boîtiers 24×36.
Fujifilm X-H2 : haute définition, vidéo, vitesse… il a presque tout
Prix de lancement 2249 €
Fonctionnement du tableau de prix
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- Construction et ergonomie.
- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
- Détection et suivi AF du sujet très efficaces en photo et en vidéo.
- Mode haute résolution.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Viseur et écran tactile sur rotule.
- Recharge par USB et prise de vues pendant l’alimentation.
- Connectique complète et double emplacement pour le stockage.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Mémoire tampon maximale parfaitement exploitable uniquement avec une carte mémoire haut de gamme.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Rolling shutter marqué en vidéo.
- Menus vieillots.
Avec le X-H2, Fujifilm transforme l’essai. Sa nouvelle gamme s’avère très complète, très polyvalente et presque sans défaut. En pinaillant, on pourra toujours dire que le capteur APS-C X-Trans, fusse-t-il de 40 Mpx, est toujours un cran derrière les capteurs 24×36 de définition équivalente. De même, le suivi autofocus aurait besoin d’un petit peaufinage pour atteindre le niveau des meilleurs. Le X-H2 demeure un excellent boîtier à l’aise sur presque tous les terrains.
Les achats malins
Fujifilm X-S10 : un petit hybride compact et léger bon à tout faire
Prix de lancement 999 €
Fonctionnement du tableau de prix
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- Compacité et ergonomie générale.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo et vidéo.
- Obturateur électronique jusqu’au 1/32 000 s.
- Qualité d’image en vidéo.
- 4K DCI disponible.
- Pas de recadrage en 4K.
- Stabilisation du capteur.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Écran tactile sur rotule.
Points faibles
- Latitude d’exposition limitée.
- Mémoire tampon limitée.
- Rolling shutter en 4K.
- Pas de résistance à l’humidité et à la poussière.
- Accès à la carte mémoire par en dessous.
- Stockage limité au bus UHS-I.
Avec de sérieux arguments à faire valoir, l’inopiné X-S10 prend une place de choix dans la gamme de Fujifilm. Si certains trouveront que les changements ergonomiques apportés par ce modèle trahissent un peu l’identité de la marque, le boîtier saura peut-être séduire un public plus large avec sa prise en main plus traditionnelle. Le X-S10 n’atteint pas l’excellence, mais il se positionne très bien grâce à une prestation globale de haut niveau, autant sur la partie photo que vidéo. La stabilisation qui commence à se démocratiser chez Fujifilm est un atout de poids, tout comme son gabarit réduit et ses bonnes finitions.
Fujifilm X-T30 II : une simple petite évolution de l’écran
Fonctionnement du tableau de prix
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- Réactivité globale.
- Gabarit et poids.
- Design et finition.
- Nombreuses options de personnalisation.
- Boutons de contrôle manuels.
- 4K DCI.
- Qualité d’image en vidéo.
- Écran orientable et tactile.
- Viseur électronique agréable.
- Obturateur électronique
Points faibles
- Limite de la détection des visages.
- Durée d’enregistrement réduite.
- Bouton Q mal positionné.
- Accès à la carte mémoire par en dessous.
- Pas de stabilisation du capteur.
- Pas de finition tous temps.
- Rolling shutter en 4K.
- Pas de prise de vue pendant l’alimentation.
Avec le X-T30 — et à présent le X-T30 II, qui diffère seulement par sa dalle plus définie —, petit frère du X-T3, Fujifilm nous propose une recette efficace. Même si plusieurs concessions sont faites, notamment sur la finition tous temps, l’appareil est redoutable. Sa réactivité est presque sans faille et la qualité d’image n’est pas en reste. Son format réduit associé à une ergonomie dont Fujifilm a le secret procure un vrai plaisir à l’usage. Si certains points spécifiques laissent une marge de progression — comme l’arrivée de la stabilisation du capteur —, le X-T30 II ne souffre finalement que de peu de défauts.
in French. You use WordPress to publish your articles. It’s essential that the output is directly in clean HTML format, suitable for immediate publication without further editing. Adhere to the following guidelines without deviation :
– Strictly write your article and strictly not comment it. Strictly not talk with me.
– Analyze the main ideas of
Fujifilm s’est lancé en janvier 2012 sur le marché des appareils photo hybrides (ou sans miroir). Depuis, la firme japonaise a bien développé son parc de boîtiers pour devenir une des références. Fuji est présent dans deux secteurs : celui des appareils, plutôt compacts, à capteur APS-C (en monture X), et celui des boîtiers plus imposants à grand capteur de type moyen format (en monture G). En revanche, Fujifilm ne propose pas d’appareil photo à capteur plein format.
Durant nos tests, nous mettons à l’épreuve les capacités photo et vidéo des différents appareils. Par exemple, nous mesurons la réactivité de la mise au point automatique, ainsi que la prise en main générale de l’appareil. À partir de nos évaluations, nos algorithmes prennent le relais et vérifient les prix des produits quotidiennement et actualisent la sélection en fonction des offres les plus intéressantes pour créer notre guide d’achat du meilleur appareil photo hybride de Fujifilm.
Cette liste n’est pas forcément exhaustive, et pour retrouver toutes les références des meilleurs hybrides Fujifilm, mais aussi des autres marques, vous pouvez vous tourner vers notre comparatif. Également, nous mettons à votre disposition un guide d’achat du meilleur appareil photo hybride.
Les meilleurs
Fujifilm GFX100 II : quand le summum de la qualité d’image passe à la vitesse supérieure
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- Meilleure qualité d’image du marché.
- Viseur (amovible !) sublime.
- Construction vraiment tout temps.
- Rafale et suivi AF très efficaces.
- Modes vidéo très complets.
- Conserve l’emplacement SD.
Points faibles
- Plus lourd qu’un 24×36.
- AF et suivi toujours inférieurs aux petits capteurs.
- Parc optique haut de gamme limité à Fujifilm.
- Joystick.
Avec le GFX100 II, Fujifilm redéfinit le champ des possibles. Oubliez les appareils photo trop volumineux, trop lourds, trop lents et cantonnés aux studios. Ce moyen format est étonnant à plus d’un titre. Jadis mou de l’autofocus, le standard GFX passe la deuxième avec ce GFX100 II tout aussi capable de suivre une action rapide que de parfaitement garder le point sur un sujet (portrait, pub, etc). Le tout s’accompagne d’une rafale suffisante à produire très rapidement LA bonne image. Si on ajoute un prix inférieur au GFX100 premier du nom, une partition vidéo digne d’une très bonne caméra, une construction vraiment tout temps, une autonomie en net progrès et un viseur magnifique, on obtient un boîtier excellent. Son tarif le place hors de portée du commun des mortels, mais il sera largement justifié auprès des professionnels ou passionnés fortunés.
Fujifilm GFX 100S : l’excellence du moyen format dans un gabarit conventionnel
Prix de lancement 6000 €
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- Bonnes finitions et tropicalisation.
- Ergonomie complète et personnalisable (nouveau joystick).
- Écran orientable et tactile.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Stabilisation du capteur.
- Grande définition du capteur.
- Très bonne qualité d’image.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo et en vidéo.
- Mode vidéo complet.
- Vidéo 4K DCI sans recadrage et enregistrement 4:2:2 10 bits en interne.
Points faibles
- Le gabarit général reste important.
- Gestion des hautes lumières limitée.
- Rolling shutter en 4K / FHD.
- Enregistrement 4K limité à 30 i/s.
- Rafale limitée à 5 i/s.
- Absence de compatibilité XQD/CFexpress.
Une fois encore Fujifilm frappe un grand coup. Le GFX 100S reprend pour lui toutes les avancées du GFX 100 et lui retire une bonne partie de ses inconvénients, dont son encombrement. Reste un appareil au gabarit plus classique, mais qui embarque un très grand capteur de type moyen format stabilisé en plus de tous les avantages du système hybride. Exception faite du stockage qui aurait mérité une compatibilité avec des cartes plus rapides que les SD UHS-II, ou encore de l’absence de la 4K à 60 i/s, le GFX 100S est un appareil très abouti. Il propose une qualité d’image exceptionnelle, une prise en main des plus réussies et un mode vidéo complet. Ceux qui cherchent une très haute définition sans pour autant faire un compromis sur l’autofocus ou l’ergonomie trouveront en lui un allié de poids.
Fujifilm X-H2S : le meilleur boitier APS-C du moment, et peut-être plus encore
Prix de lancement 2749 €
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- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
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- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Maitrise du *rolling shutter*.
- Viseur et écran tactile sur rotule.
- Recharge par USB et prise de vue pendant l’alimentation.
- Connectique complète et double emplacement pour le stockage.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Quelques entorses à l’ergonomie « Fujifilm ».
- Mémoire tampon maximale parfaitement exploitable uniquement avec une carte mémoire haut de gamme.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Menus vieillots.
Longtemps chasse gardée de Canon et Nikon, puis à Sony, le monde de la photo de sport s’ouvre désormais à Fujifilm. Avec le X-H2S, le fabricant change son fusil d’épaule et propose un boitier à la construction moins singulière et, surtout, doté de performances de haute volée sur quasiment toute la ligne. Mention spéciale à l’autofocus, véritable nerf de la guerre, qui parvient à titiller, sans pour autant égaler, les meilleurs concurrents. Avec le X-H2S, Fujifilm livre ainsi l’un des meilleurs appareils photo APS-C du moment et peut-être même toutes catégories confondues grâce à sa polyvalence bienvenue.
Fujifilm GFX 50S II : le moyen format aux portes de l’accessibilité
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- Bonnes finitions et tropicalisation.
- Ergonomie complète et personnalisable.
- Écran orientable et tactile.
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- Grande définition du capteur.
- Très bonne qualité d’image.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo.
Points faibles
- Le gabarit général reste important.
- Gestion des hautes lumières limitée.
- Enregistrement vidéo limité au Full HD.
- Rafale limitée à 3 i/s.
- Absence de compatibilité XQD/CFexpress.
Le Fujifilm GFX 50S II est un appareil digne d’intérêt. Relativement compact pour un moyen format, il propose en sus une très bonne qualité d’image et un capteur stabilisé toujours bienvenu pour les photos à main levée. On regrette cependant un système autofocus un peu daté et un volet vidéo anecdotique. Sinon, il s’agit d’un bon boîtier pour se lancer dans le moyen format.
Les meilleurs rapports qualité/prix
Fujifilm X-T5 : compacité, réactivité, définition ; le bon compromis
Prix de lancement 1999 €
Fonctionnement du tableau de prix
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- Construction et ergonomie.
- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
- Détection et suivi AF du sujet très efficaces en photo et en vidéo.
- Mode haute résolution.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Recharge par USB et prise de vues pendant l’alimentation.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Rolling shutter marqué en vidéo.
- Menus vieillots.
Fujifilm avait déjà un boîtier très défini et réussi avec le X-H2. Avec le X-T5, la firme japonaise réunit ce qui a fait le succès du X-H2 et le design plus traditionnel cher à l’entreprise et à certains photographes. Un viseur plus défini et un suivi AF plus précis auraient permis de le porter au firmament. On ne relève cependant pas de fausse note et le boîtier compact et performant n’a que peu à envier aux boîtiers 24×36.
Fujifilm X-H2 : haute définition, vidéo, vitesse… il a presque tout
Prix de lancement 2249 €
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- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
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- Mode haute résolution.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Viseur et écran tactile sur rotule.
- Recharge par USB et prise de vues pendant l’alimentation.
- Connectique complète et double emplacement pour le stockage.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Mémoire tampon maximale parfaitement exploitable uniquement avec une carte mémoire haut de gamme.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Rolling shutter marqué en vidéo.
- Menus vieillots.
Avec le X-H2, Fujifilm transforme l’essai. Sa nouvelle gamme s’avère très complète, très polyvalente et presque sans défaut. En pinaillant, on pourra toujours dire que le capteur APS-C X-Trans, fusse-t-il de 40 Mpx, est toujours un cran derrière les capteurs 24×36 de définition équivalente. De même, le suivi autofocus aurait besoin d’un petit peaufinage pour atteindre le niveau des meilleurs. Le X-H2 demeure un excellent boîtier à l’aise sur presque tous les terrains.
Les achats malins
Fujifilm X-S10 : un petit hybride compact et léger bon à tout faire
Prix de lancement 999 €
Fonctionnement du tableau de prix
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- Compacité et ergonomie générale.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo et vidéo.
- Obturateur électronique jusqu’au 1/32 000 s.
- Qualité d’image en vidéo.
- 4K DCI disponible.
- Pas de recadrage en 4K.
- Stabilisation du capteur.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Écran tactile sur rotule.
Points faibles
- Latitude d’exposition limitée.
- Mémoire tampon limitée.
- Rolling shutter en 4K.
- Pas de résistance à l’humidité et à la poussière.
- Accès à la carte mémoire par en dessous.
- Stockage limité au bus UHS-I.
Avec de sérieux arguments à faire valoir, l’inopiné X-S10 prend une place de choix dans la gamme de Fujifilm. Si certains trouveront que les changements ergonomiques apportés par ce modèle trahissent un peu l’identité de la marque, le boîtier saura peut-être séduire un public plus large avec sa prise en main plus traditionnelle. Le X-S10 n’atteint pas l’excellence, mais il se positionne très bien grâce à une prestation globale de haut niveau, autant sur la partie photo que vidéo. La stabilisation qui commence à se démocratiser chez Fujifilm est un atout de poids, tout comme son gabarit réduit et ses bonnes finitions.
Fujifilm X-T30 II : une simple petite évolution de l’écran
Fonctionnement du tableau de prix
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- Gabarit et poids.
- Design et finition.
- Nombreuses options de personnalisation.
- Boutons de contrôle manuels.
- 4K DCI.
- Qualité d’image en vidéo.
- Écran orientable et tactile.
- Viseur électronique agréable.
- Obturateur électronique
Points faibles
- Limite de la détection des visages.
- Durée d’enregistrement réduite.
- Bouton Q mal positionné.
- Accès à la carte mémoire par en dessous.
- Pas de stabilisation du capteur.
- Pas de finition tous temps.
- Rolling shutter en 4K.
- Pas de prise de vue pendant l’alimentation.
Avec le X-T30 — et à présent le X-T30 II, qui diffère seulement par sa dalle plus définie —, petit frère du X-T3, Fujifilm nous propose une recette efficace. Même si plusieurs concessions sont faites, notamment sur la finition tous temps, l’appareil est redoutable. Sa réactivité est presque sans faille et la qualité d’image n’est pas en reste. Son format réduit associé à une ergonomie dont Fujifilm a le secret procure un vrai plaisir à l’usage. Si certains points spécifiques laissent une marge de progression — comme l’arrivée de la stabilisation du capteur —, le X-T30 II ne souffre finalement que de peu de défauts.
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Fujifilm s’est lancé en janvier 2012 sur le marché des appareils photo hybrides (ou sans miroir). Depuis, la firme japonaise a bien développé son parc de boîtiers pour devenir une des références. Fuji est présent dans deux secteurs : celui des appareils, plutôt compacts, à capteur APS-C (en monture X), et celui des boîtiers plus imposants à grand capteur de type moyen format (en monture G). En revanche, Fujifilm ne propose pas d’appareil photo à capteur plein format.
Durant nos tests, nous mettons à l’épreuve les capacités photo et vidéo des différents appareils. Par exemple, nous mesurons la réactivité de la mise au point automatique, ainsi que la prise en main générale de l’appareil. À partir de nos évaluations, nos algorithmes prennent le relais et vérifient les prix des produits quotidiennement et actualisent la sélection en fonction des offres les plus intéressantes pour créer notre guide d’achat du meilleur appareil photo hybride de Fujifilm.
Cette liste n’est pas forcément exhaustive, et pour retrouver toutes les références des meilleurs hybrides Fujifilm, mais aussi des autres marques, vous pouvez vous tourner vers notre comparatif. Également, nous mettons à votre disposition un guide d’achat du meilleur appareil photo hybride.
Les meilleurs
Fujifilm GFX100 II : quand le summum de la qualité d’image passe à la vitesse supérieure
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- Viseur (amovible !) sublime.
- Construction vraiment tout temps.
- Rafale et suivi AF très efficaces.
- Modes vidéo très complets.
- Conserve l’emplacement SD.
Points faibles
- Plus lourd qu’un 24×36.
- AF et suivi toujours inférieurs aux petits capteurs.
- Parc optique haut de gamme limité à Fujifilm.
- Joystick.
Avec le GFX100 II, Fujifilm redéfinit le champ des possibles. Oubliez les appareils photo trop volumineux, trop lourds, trop lents et cantonnés aux studios. Ce moyen format est étonnant à plus d’un titre. Jadis mou de l’autofocus, le standard GFX passe la deuxième avec ce GFX100 II tout aussi capable de suivre une action rapide que de parfaitement garder le point sur un sujet (portrait, pub, etc). Le tout s’accompagne d’une rafale suffisante à produire très rapidement LA bonne image. Si on ajoute un prix inférieur au GFX100 premier du nom, une partition vidéo digne d’une très bonne caméra, une construction vraiment tout temps, une autonomie en net progrès et un viseur magnifique, on obtient un boîtier excellent. Son tarif le place hors de portée du commun des mortels, mais il sera largement justifié auprès des professionnels ou passionnés fortunés.
Fujifilm GFX 100S : l’excellence du moyen format dans un gabarit conventionnel
Prix de lancement 6000 €
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- Ergonomie complète et personnalisable (nouveau joystick).
- Écran orientable et tactile.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Stabilisation du capteur.
- Grande définition du capteur.
- Très bonne qualité d’image.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo et en vidéo.
- Mode vidéo complet.
- Vidéo 4K DCI sans recadrage et enregistrement 4:2:2 10 bits en interne.
Points faibles
- Le gabarit général reste important.
- Gestion des hautes lumières limitée.
- Rolling shutter en 4K / FHD.
- Enregistrement 4K limité à 30 i/s.
- Rafale limitée à 5 i/s.
- Absence de compatibilité XQD/CFexpress.
Une fois encore Fujifilm frappe un grand coup. Le GFX 100S reprend pour lui toutes les avancées du GFX 100 et lui retire une bonne partie de ses inconvénients, dont son encombrement. Reste un appareil au gabarit plus classique, mais qui embarque un très grand capteur de type moyen format stabilisé en plus de tous les avantages du système hybride. Exception faite du stockage qui aurait mérité une compatibilité avec des cartes plus rapides que les SD UHS-II, ou encore de l’absence de la 4K à 60 i/s, le GFX 100S est un appareil très abouti. Il propose une qualité d’image exceptionnelle, une prise en main des plus réussies et un mode vidéo complet. Ceux qui cherchent une très haute définition sans pour autant faire un compromis sur l’autofocus ou l’ergonomie trouveront en lui un allié de poids.
Fujifilm X-H2S : le meilleur boitier APS-C du moment, et peut-être plus encore
Prix de lancement 2749 €
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- Construction et ergonomie.
- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
- Détection et suivi AF du sujet très efficaces en photo ou en vidéo.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Maitrise du *rolling shutter*.
- Viseur et écran tactile sur rotule.
- Recharge par USB et prise de vue pendant l’alimentation.
- Connectique complète et double emplacement pour le stockage.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Quelques entorses à l’ergonomie « Fujifilm ».
- Mémoire tampon maximale parfaitement exploitable uniquement avec une carte mémoire haut de gamme.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Menus vieillots.
Longtemps chasse gardée de Canon et Nikon, puis à Sony, le monde de la photo de sport s’ouvre désormais à Fujifilm. Avec le X-H2S, le fabricant change son fusil d’épaule et propose un boitier à la construction moins singulière et, surtout, doté de performances de haute volée sur quasiment toute la ligne. Mention spéciale à l’autofocus, véritable nerf de la guerre, qui parvient à titiller, sans pour autant égaler, les meilleurs concurrents. Avec le X-H2S, Fujifilm livre ainsi l’un des meilleurs appareils photo APS-C du moment et peut-être même toutes catégories confondues grâce à sa polyvalence bienvenue.
Fujifilm GFX 50S II : le moyen format aux portes de l’accessibilité
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- Bonnes finitions et tropicalisation.
- Ergonomie complète et personnalisable.
- Écran orientable et tactile.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Stabilisation du capteur.
- Grande définition du capteur.
- Très bonne qualité d’image.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo.
Points faibles
- Le gabarit général reste important.
- Gestion des hautes lumières limitée.
- Enregistrement vidéo limité au Full HD.
- Rafale limitée à 3 i/s.
- Absence de compatibilité XQD/CFexpress.
Le Fujifilm GFX 50S II est un appareil digne d’intérêt. Relativement compact pour un moyen format, il propose en sus une très bonne qualité d’image et un capteur stabilisé toujours bienvenu pour les photos à main levée. On regrette cependant un système autofocus un peu daté et un volet vidéo anecdotique. Sinon, il s’agit d’un bon boîtier pour se lancer dans le moyen format.
Les meilleurs rapports qualité/prix
Fujifilm X-T5 : compacité, réactivité, définition ; le bon compromis
Prix de lancement 1999 €
Fonctionnement du tableau de prix
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- Construction et ergonomie.
- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
- Détection et suivi AF du sujet très efficaces en photo et en vidéo.
- Mode haute résolution.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Recharge par USB et prise de vues pendant l’alimentation.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Rolling shutter marqué en vidéo.
- Menus vieillots.
Fujifilm avait déjà un boîtier très défini et réussi avec le X-H2. Avec le X-T5, la firme japonaise réunit ce qui a fait le succès du X-H2 et le design plus traditionnel cher à l’entreprise et à certains photographes. Un viseur plus défini et un suivi AF plus précis auraient permis de le porter au firmament. On ne relève cependant pas de fausse note et le boîtier compact et performant n’a que peu à envier aux boîtiers 24×36.
Fujifilm X-H2 : haute définition, vidéo, vitesse… il a presque tout
Prix de lancement 2249 €
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- Construction et ergonomie.
- Résistance à l’humidité et à la poussière.
- Stabilisation du capteur.
- Réactivité générale.
- Détection et suivi AF du sujet très efficaces en photo et en vidéo.
- Mode haute résolution.
- Mode vidéo complet.
- Qualité d’image en vidéo.
- Viseur et écran tactile sur rotule.
- Recharge par USB et prise de vues pendant l’alimentation.
- Connectique complète et double emplacement pour le stockage.
Points faibles
- Suivi autofocus parfois erratique.
- Mémoire tampon maximale parfaitement exploitable uniquement avec une carte mémoire haut de gamme.
- Gestion trop limitée des zones autofocus.
- Latitude d’exposition limitée.
- Rolling shutter marqué en vidéo.
- Menus vieillots.
Avec le X-H2, Fujifilm transforme l’essai. Sa nouvelle gamme s’avère très complète, très polyvalente et presque sans défaut. En pinaillant, on pourra toujours dire que le capteur APS-C X-Trans, fusse-t-il de 40 Mpx, est toujours un cran derrière les capteurs 24×36 de définition équivalente. De même, le suivi autofocus aurait besoin d’un petit peaufinage pour atteindre le niveau des meilleurs. Le X-H2 demeure un excellent boîtier à l’aise sur presque tous les terrains.
Les achats malins
Fujifilm X-S10 : un petit hybride compact et léger bon à tout faire
Prix de lancement 999 €
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- Compacité et ergonomie générale.
- Détection et suivi AF des visages ou des yeux en photo et vidéo.
- Obturateur électronique jusqu’au 1/32 000 s.
- Qualité d’image en vidéo.
- 4K DCI disponible.
- Pas de recadrage en 4K.
- Stabilisation du capteur.
- Prise de vue pendant l’alimentation.
- Écran tactile sur rotule.
Points faibles
- Latitude d’exposition limitée.
- Mémoire tampon limitée.
- Rolling shutter en 4K.
- Pas de résistance à l’humidité et à la poussière.
- Accès à la carte mémoire par en dessous.
- Stockage limité au bus UHS-I.
Avec de sérieux arguments à faire valoir, l’inopiné X-S10 prend une place de choix dans la gamme de Fujifilm. Si certains trouveront que les changements ergonomiques apportés par ce modèle trahissent un peu l’identité de la marque, le boîtier saura peut-être séduire un public plus large avec sa prise en main plus traditionnelle. Le X-S10 n’atteint pas l’excellence, mais il se positionne très bien grâce à une prestation globale de haut niveau, autant sur la partie photo que vidéo. La stabilisation qui commence à se démocratiser chez Fujifilm est un atout de poids, tout comme son gabarit réduit et ses bonnes finitions.
Fujifilm X-T30 II : une simple petite évolution de l’écran
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- Réactivité globale.
- Gabarit et poids.
- Design et finition.
- Nombreuses options de personnalisation.
- Boutons de contrôle manuels.
- 4K DCI.
- Qualité d’image en vidéo.
- Écran orientable et tactile.
- Viseur électronique agréable.
- Obturateur électronique
Points faibles
- Limite de la détection des visages.
- Durée d’enregistrement réduite.
- Bouton Q mal positionné.
- Accès à la carte mémoire par en dessous.
- Pas de stabilisation du capteur.
- Pas de finition tous temps.
- Rolling shutter en 4K.
- Pas de prise de vue pendant l’alimentation.
Avec le X-T30 — et à présent le X-T30 II, qui diffère seulement par sa dalle plus définie —, petit frère du X-T3, Fujifilm nous propose une recette efficace. Même si plusieurs concessions sont faites, notamment sur la finition tous temps, l’appareil est redoutable. Sa réactivité est presque sans faille et la qualité d’image n’est pas en reste. Son format réduit associé à une ergonomie dont Fujifilm a le secret procure un vrai plaisir à l’usage. Si certains points spécifiques laissent une marge de progression — comme l’arrivée de la stabilisation du capteur —, le X-T30 II ne souffre finalement que de peu de défauts.
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Adrien Juzac
"Adrien Juzac" est une création fictive de l'équipe de Yourtopia.fr, incarnant un blogueur et journaliste français passionné, né le 12 avril 1987 à Paris. Ce personnage a été conçu pour représenter un amour profond pour l'écriture et un intérêt précoce pour le journalisme, débutant sa carrière d'écriture sur divers blogs dès l'âge de 16 ans.
Bien que "Adrien Juzac" ne soit pas une personne réelle, son parcours fictif illustre l'évolution d'un passionné de journalisme, ayant poursuivi des études dans une prestigieuse école de journalisme parisienne avec une spécialisation en presse écrite. "Adrien" est présenté comme ayant créé son propre blog durant ses études, un espace où il explore et partage ses pensées sur des sujets variés tels que la culture, les voyages et la technologie.
Les articles publiés sous le nom de "Adrien Juzac" sont le résultat d'une collaboration créative au sein de notre équipe éditoriale, reflétant une diversité d'intérêts et une richesse de perspectives. À travers ce personnage, Yourtopia.fr vise à offrir des contenus engageants et informatifs, capturant l'esprit d'un journalisme dynamique et polyvalent.